Palimpseste et paradoxe, merci à Pascale Pineda pour la chorégraphie.
Il n’y pas d’étoile. Si ce n’est le pauvre simulacre in(can)décent du brandon de ma cigarette dans l’obscurité. Je suis la femme qui fume souvent et rêve parfois. Je suis un palimpseste qui s’auto-consume et qui renaît de ses cendres,...